*9,1 Hadrach : Dans les inscriptions assyriennes Hatariku, ville et contrée de la Syrie, dans le voisinage du Liban.
†9,3 Une citadelle : la nouvelle Tyr, bâtie dans une île à un kilomètre de la côte.
‡9,5 Son espérance, la ville de Tyr, protection et source de richesses pour ces petites cités.
§9,6 Un vil étranger, litt. un bâtard, une population bâtarde.
*9,7 7. La Philistie renoncera aux idoles et sera incorporée au nouveau peuple de Dieu. — Un chef, de tribu, de famille.
†9,9 Sur un âne, par opposition au cheval de guerre (vers. 10) : symbole du caractère pacifique du Roi Messie. Comp. Deut. xvii, 16 ; Is. ii, 6-9. Dans les premiers temps de l’histoire d’Israël, l’âne était la monture des princes et des chefs (Jug. v, 10 ; x, 4). Le poulain n’est ici mentionné qu’en vertu du parallélisme synonymique ; ce n’est pas un second animal.
‡9,10 Je retrancherai. Cette 1 re pers. suppose une parole du Messie introduite dans le texte d’une façon très abrupte.
§9,11 11. De l’alliance contractée entre Dieu et Israël au Sinaï, et scellée par le sang d’une victime (Exo 24, 8). — La fosse sans eau figure le pays de la captivité où l’on souffre sans périr.
*9,12 Au lieu fort, au pays d’Israël.
†9,13 13. Juda et Ephraïm sont un arc et une flèche dans la main de Dieu, qui s’en servira pour vaincre les païens. — Javan, les Grecs.
‡9,15 Ils dévoreront… ils boitant… pris de vin. Texte difficile. — La coupe pleine du sang des victimes, dont on aspergeait les quatre cornes ou angles saillants de l’autel des holocaustes.
§9,16 Autre verset difficile. — Comme des pierres de diadème, comme les pierres précieuses qui ornent un diadème royal.